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Saint Jean XXIII
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Messes de la Toussaint

Samedi 1er novembre : fête de la Toussaint
-
messe à 9h15 à St-Bruno et 10h45 à St-Jean
Dimanche 2 novembre : commémmoration des fidèles défunts
-
messe à 9h15 à St-Bruno et 10h45 à St-Jean
Rejoindre un groupe de prière « chapelet vivant »

Pendant notre pèlerinage paroissial nous avons découvert la bienheureuse Pauline Jaricot et son initiative du rosaire vivant. Nous vous proposons de nous inscrire à un groupe de prière de chapelet vivant avec d’autres paroissiens, en effectuant la procédure suivante sur votre tablette ou votre téléphone :
- Télécharger l’application Rosario
- Cliquer sur : Créer un groupe
- Cliquer sur : Groupe “par paroisse”
- Cliquer sur : Je n’ai pas de code
- Écrire les premières lettres de : Grenoble-Vienne
- Écrire les premières lettres de : Jean-XXIII
- Écrire : OUI
- Vous pouvez ensuite inviter 4 autres personnes à rejoindre votre groupe en leur envoyant le code d’invitation
- En cas d’erreur vous pouvez quitter le groupe en cliquant sur les °°° en haut à droite
Ecole de la foi

Pour ceux qui veulent préparer les sacrements de l’initiation (Baptême, Confirmation, Communion)
et tous ceux qui veulent recevoir les bases de la foi chrétienne
Calendrier 2025/2026:
Soirées de 19h45 à 21h45 les: 16/09; 30/09; 11/11; 25/11; 13/01/2026; 27/01; 24/02; 17/03; 21/04; 12/05; 23/06
Week-ends (du vendredi 18h30 au samedi 18h) les: 17-18/10; 05-06/12; 5-6/06
Vous pouvez vous inscrire à tout moment.
Pour vous inscrire vous pouvez scanner le QR Code avec votre téléphone ou cliquer ICI
Participation annuelle aux frais (hors retraite) : 30 €
Lettre pastorale - introduction (Pentecôte 2025)

Un élan renouvelé en partant du Christ pauvre et de nos frères et sœurs les plus délaissés
À l’écoute de l’Esprit, nous nous sommes interrogés sur les priorités qu’il nous faudrait assigner à la vie de notre église diocésaine pour la période qui s’ouvre devant nous. Nombreux sont ceux et celles qui se sont employés à apporter leur contribution et nous les en remercions grandement.
Les initiatives solidaires nouvelles, multiples et variées, ont trouvé des résonnances importantes dans les vastes consultations proposées ces deux ou trois dernières années. Tant et si bien qu’il me semble légitime de faire nôtre l’appel du Pape François dans son encyclique Fratelli tutti (§ 235) : « S’il s’avère nécessaire de recommencer (élan nouveau), ce sera toujours à partir des derniers ». C’est un parti pris, évidemment, mais qui me semble en conscience devoir s’imposer, à la lecture de toutes les remontées de vos expériences de conversations spirituelle.
Et plus précisément au moment où nous prenons la mesure de l’héritage du pape François au regard de son attention prioritaire aux plus fragiles. Le défi que je vous propose donc de relever ensemble pourrait être d’appréhender la vie et la mission de l’Église aujourd’hui dans notre diocèse (l’annonce du Royaume) non pas à la manière du monde, en comptant principalement sur ceux et celles qui ont déjà une forte reconnaissance sociale, mais en partant de « la pierre qu’ont rejeté les bâtisseurs » (Ac 4, 11 ; Ps 118, 22).
Cette pierre d’angle, cette clé de voûte, essentielle à la construction, c’est évidemment le Christ (ce qui dit la centralité de la vie spirituelle), mais aussi, avec Lui, ce sont tous les précaires ; ces voix et ces vies, privées de reconnaissance. Tous ceux et celles qui se trouvent dans des lieux de souffrance, de déréliction, d’abandon. Ceux et celles qui sont mendiants de vie spirituelle et qui deviendront parfois catéchumènes, souvent à l’occasion de rudes épreuves de vie…
Pour toutes ces situations nous parlerons habituellement des ‘‘ pauvres ‘‘ car cette dénomination présente l’avantage d’être biblique, même si elle peut parfois sembler réductrice.
[...]
Lettre pastorale - chapitre 1 (septembre 2025)

La vie chrétienne comme chemin de discernement spirituel
Pas de vie chrétienne, sans vie spirituelle
Nous avons entendu cet appel à mettre le « Christ-pauvre » au centre de nos dispositifs pastoraux. Mais nous savons bien, d’expérience, que cette injonction ne peut pas donner de fruits si elle n’a pas sa source dans une union spirituelle forte avec le Seigneur. Maryline Robinson, qui met ces mots dans la bouche d’un pasteur protestant écrivant une sorte de testament à son fils, nous ouvre à cette compréhension : « Libère ceux qui sont captifs, me dit-il. Prêche la bonne nouvelle aux pauvres. Proclame la liberté à travers le pays […/…] Personne ne se plie à ces injonctions sans que le Seigneur l’ait auparavant pris en main. Je les ignorais moi-même, jusqu’au jour où Il se tint à mes côtés et m’adressa directement ces paroles. » 1 Le premier défi, donc le plus fondamental, le plus essentiel, sera toujours celui de « demeurer » dans l’amour du Christ, pour être avec Lui, sous le souffle de l’Esprit, enfants du Père (Cf. Jn, 15).
Vivre en chrétien est le fruit d’une attention - qui ne se décrète pas une fois pour toutes, mais qui doit être sans arrêt renouvelée - d’une attention constante à poser des choix sous le souffle de l’Esprit. « Seigneur, toi qui sais ce qui est bon pour moi, pour ma famille, pour l’Église et pour le monde, où veux-tu me conduire ? Quels grands choix de vie, ou petits choix plus quotidiens, seront l’expression de Ta présence au plus intime de moi-même ? »
Nos communautés chrétiennes ne sont-elles pas, ou ne devraient-elles pas être, finalement, des lieux de formation individuelle et communautaire, au discernement spirituel ? Les nouveaux baptisés et nouveaux confirmés n’attendent-ils pas de nous que nous les aidions à vivre dans l’Esprit, pour tendre à être, au quotidien, « d’autres Christ » ?
1 Gilead, de Maryline Robinson, chez Acte Sud, 2007 - Le révérend John Ames rédige, à l’attention de son très jeune fils, une longue lettre, seul héritage que la pauvreté matérielle l’autorise à transmettre.
[...]
Lettre pastorale - chapitre 2 (Octobre 2025)

Tous et chacun, membres d'une fraternité chrétienne de proximité
Ensemble, à quelques-uns, donner à voir le Christ
C’est le baptême (avec la confirmation) qui fait que nous donnons à voir le Christ dans ce monde et pour ce monde. Il fait de nous, là où nous sommes, le corps visible, sensible, aimant, du Christ pour tout homme. Il fait de nous, non pas seuls, mais tous ensemble, l’Église, Jésus-Christ répandu et communiqué « Vous me demandez ce que c’est que l’Église, c’est Jésus-Christ répandu et communiqué… » (Bossuet). Nous pourrions dire aussi qu’elle est l’Épouse du Christ, qui se reçoit en permanence de Lui, et qu’il comble de son amour.
Cette Église est donc sensible à nos yeux, nos oreilles, notre toucher, partout où se trouvent des baptisés, qui, peut-être, n’ont pas toujours pris la mesure des conséquences, des implications, de leur consécration baptismale.
En arrivant dans chacune des 512 communes de notre diocèse, mais aussi dans un quartier ou encore une rue, nous pourrions nous poser Tous, et chacun, membres d’une fraternité chrétienne de proximité « En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. » Mt 18, 20 2 cette question : « y a-t-il ici des baptisés, quelques disciples de Jésus rassemblés, qui manifestent la présence aimante de Dieu au milieu des hommes ? ». Nous répondons oui, à la première partie de la question.
On estime en effet qu’environ 30 ou 40 % des Français sont baptisés. Mais reflètent-ils, ensemble, la présence du Sauveur ? Le plus souvent, nous répondrons par la négative à cette deuxième question.
Si on interroge les gens que nous rencontrons sur la visibilité de l’Église dans leur lieu habituel de vie, la plupart du temps, ils nous disent : « L’Église est très peu présente ici ». Le Corps du Christ qu’est l’Église ne se donne pas à voir, ou seulement en de rares occasions (un mariage ou une fête locale parfois ; le plus souvent un deuil). Mais ils veulent souvent dire par là qu’ils ne voient plus guère de ministres ordonnés. Nous héritons d’une situation dans laquelle le christianisme et le catholicisme solidement implantés s’appliquaient à maintenir un maillage du territoire aussi serré que possible, avec les nombreux prêtres dont nous disposions. Les personnes vivant d’une forte stabilité sur leur territoire, souvent rural, étaient rejointes par un pasteur qui se stabilisait au milieu d’elles, faisant du village, ou même du hameau, une paroisse. L’Abbé Gerin, contemporain du curé d’Ars, dont nous relisons l’histoire sous la conduite de Gilles-Marie Moreau, nous aide à mieux comprendre cet univers religieux de ceux qui nous ont précédés. Aujourd’hui, nous pourrions dire, en reprenant les mots de saint Paul : « Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né » (2 Co 5, 17). Le Seigneur, qui nous parle à travers le réel caractérisant notre société post-moderne, nous invite à manifester autrement notre proximité à tous. Il nous invite à fonder cette attention aux plus proches sur la grâce et la mission de chaque baptisé.
[...]
Tous en Fraternité
Pour ne pas rester seul dans la foi et apprendre à écouter Dieu vous parler, rejoignez une « Fraternité paroissiale ».
Certaines se réunissent en journée, d’autres en soirée.
Une Fraternité est un groupe stable qui se réunit mensuellement pour prier avec la parole de Dieu, selon la méthode de la lectio divina en groupe. À l’aide de cette méthode toute simple, vous apprendrez petit à petit à écouter ce que Dieu vous dit, et vous construirez des liens de fraternité.
Contact : p. Jean Baptiste VIAN
Déclaration des évêques de France sur le projet de loi sur la fin de vie
Appel aux dons / Denier
La paroisse Saint Jean lance une souscription avec la Fondation du Patrimoine pour remplacer entièrement la toiture de l'église






