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Chaîne de prière fraternelle dans les maisons - mai/juin Montbonnot
Chaîne de prière fraternelle dans les maisons
Une icône du Christ passera tout au long de l’Année Sainte chez les personnes qui le souhaitent pour vivre une chaîne de prière dans la paroisse. Elles pourront proposer d’ouvrir leur maison pour un petit temps de recueillement organisé durant la semaine.
L’icône changera de maison à la fin des messes dominicales y compris le samedi soir. En mai et juin cette chaine de prière est proposée particulièrement aux habitants de Montbonnot.
Vous pouvez vous inscrire pour accueillir l'icône chez vous via le lien, ci-après : https://framadate.org/IRXYyunzrJ5ectZ4, .
Si vous avez des questions vous pouvez contacter directement Clothilde Fabre : cl.fabre38@gmail.com
Appel pour l'hébergement des séminaristes
Nous aurons besoin de quelques familles de paroissiens pour héberger les séminaristes les nuits des 23 et 24 mai prochains, si possible par deux, en chambres individuelles, avec petit déjeuner ; ainsi que des personnes pour apporter le déjeuner et le dîner préparés à l’avance du samedi 24 mai.
Si vous souhaitez accueillir ces jeunes en formation ou participer à la confection d’un plat pour ces deux repas, merci de vous signaler à Ingrid Douillet, de l’Equipe Paroissiale : ingriddouillet@icloud.com
Nous vous remercions par avance pour la réussite de cette rencontre.
Il est vénéré à Montbonnot depuis le XIème siècle en raison du passage de l’Isère jadis fréquentée par des bateliers pour desservir la vallée du Grésivaudan. Il est né vers 270 à Patare en Asie mineure, de parents chrétiens. Après avoir été ordonné prêtre, il devient évêque de Myre et prit immédiatement sa charge à coeur. Il participa au concile de Nicée en 325 où il combattit l’arianisme. Il lutta fermement contre l’idolâtrie et les hérésies. Il mort vers 350 et son tombeau devint rapidement un lieu de pèlerinage. Lorsque les turcs conquirent la ville de Myre, au XIe siècle, les reliques furent déplacées jusqu’à Bari (Italie), où elles sont encore aujourd’hui très vénérées. C’est à cette époque que son culte se répand en occident. De nombreux miracles lui sont attribués, d’où la célèbre histoire des trois enfants sauvés d’un boucher cruel (représentée par le vitrail au dessus de la porte de l’église de Montbonnot). Lors du déplacement de ses reliques à Bari, le miracle de la tempête apaisée lui vaut d’être aussi le patron des marins et des voyageurs. Il est fêté le 6 décembre particulièrement avec les enfants.
Elle avait de la famille du côté de son père au Rachais à Meylan, côté Montbonnot. Elle est née à Grenoble en 1769 dans une famille de la haute bourgeoisie.
Elle entre comme postulante, à 19 ans, au couvent des visitandines de Sainte-Marie d’en haut, malgré l’opposition de son père. Lorsque la révolution française éclate, le couvent est dispersé ; sainte Philippine se consacre alors à l'éducation des enfants et aux soins des plus pauvres, des prisonniers et des prêtres réfractaires. Après le concordat de 1801 elle rachète le couvent abandonné et après avoir rencontré Mère Marie-Sophie Barat en 1804, elle fait venir quelques soeurs de la nouvelle congrégation du Sacré-Coeur.
A 49 ans, elle se porte volontaire pour partir en mission dans le Missouri puis en Louisiane où elle fonde plusieurs écoles et diffuse la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus.
A 72 ans malgré son état de santé fragile, elle se rend auprès des Indiens, sur leur territoire au Kansas. Sainte Philippine a marqué les esprits des Indiens puisqu’ils la surnommaient “la femme qui prie toujours”. Elle mort le 18 novembre 1852, à l’âge de 83 ans, sa dépouille repose dans la chapelle de son sanctuaire à Saint-Charles. Elle est aussi vénérée à Grenoble dans la Collégiale Saint-André, l’église qu’elle fréquentait lorsqu’elle habitait dans la grande rue. C’est une belle figure chrétienne féminine à découvrir ou redécouvrir.
Il était vénéré dans la paroisse voisine Saint-Martin-de-Miséré (autour du prieuré) avant l’union de celle-ci avec Montbonnot en 1851. Il fait figure d’allégorie dans la foi chrétienne du bien victorieux du mal. Il serait né vers 275 à Mazaca (aujourd'hui Césarée en Turquie). À quinze ans, il devient officier de l’armée romaine à Nicomédie. Son habileté et sa sagesse firent sa renommée. En 303 l’empereur Dioclétien émit un édit donnant l’ordre de détruire les églises et de persécuter les chrétiens. Il remit alors son glaive en signe de démission. En passant par Lydda, il entend parler d’une bande de pillards perses qui terrorisait la région, dirigée par un certain Nahfr, dont le nom signifie “dragon”. Il tue le dragon d’un seul coup d’épée et capture le reste de la troupe. L’empereur Dioclétien lui ordonne alors d’offrir un sacrifice aux dieux païens. Il refuse et doit subir d’atroces tortures mais chaque fois il survit miraculeusement. Ces « résurrections » entraînent de nombreuses conversions. Il mort en 303, le 23 avril maintenant jour de sa fête. Il est inhumé à Lydda. Saint patron des cavaliers,