Paroisse Saint Martin du Manival

Édito du père Royet - Juin 2025

Allons au Cœur de notre foi

Le mois de juin est traditionnellement celui du Sacré-Cœur de Jésus. Le cœur au sens biblique est le moteur de la décision et de la mémoire, c’est le sanctuaire du dialogue entre Dieu et l’homme et entre l’homme et l’homme ; à tel point que ce qui sort du cœur de l’homme révèle la personne dans son intégralité et dans son intimité.

Voilà pourquoi la loi du Seigneur ne sera pas inscrite dans un autre lieu que dans le cœur : « Je mettrai ma loi au dedans d’eux, Je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu. Et ils seront mon peuple » (Jr 31,33). C’est le cœur qui nous permet de rencontrer Dieu et toute personne en vérité. C’est dans le cœur que tout se joue !

Le cœur humain peut aussi facilement se perdre lorsqu’il s’éloigne de Dieu, il peut alors s’enliser dans des illusions de possession et de vaine gloire, dans l’appel à la violence, dans le besoin de tout contrôler de notre propre vie ou de la vie des autres ; y compris aux débuts de la vie et en fin de vie… Au contraire, lorsque nous connaissons le Seigneur, nous savons que le critère avec lequel nous serons jugés consiste dans le fait que nous aurons aimé jusqu‘au bout « de tout cœur ».

La dévotion au Sacré-Cœur, qui s’enracine dans le cœur transpercé du Christ sur la croix, s’est développée au XVIIème siècle en France grâce aux révélations reçues par Sainte Marguerite Marie Alacoque à Paray-le-Monial ; dont nous fêtons le 350ème anniversaire. C’est dans ce cadre que le pape François a dédié sa dernière encyclique Dilexit nos sur le Sacré-Cœur de Jésus (24 octobre 2024). Elle est en quelque sorte comme son testament : revenir au plus important, au Cœur de notre foi.

C’est du Cœur aimant de Jésus que nous avons « le principe unificateur » pour notre vie, nos familles, pour l’Eglise et pour le monde (n°31). A l’heure des grandes transformations sociétales et en accueillant notre nouveau pape Léon XIV, c’est la grâce que nous pouvons demander en mettant toute notre confiance et notre espérance dans le Cœur de Dieu : celle de la vérité et de l’amour pour tous.


Père Patrick Royet

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Dimanche 15 juin 2025 - Profession de foi et communion d'adolescents

Dimanche de la Sainte Trinité

A Saint-Ismier le dimanche 15 juin, à 10h30, solennité de la Sainte Trinité, 11 collégiens de 5èmes rediront leur foi baptismale et 3 d’entre eux feront leur première communion, ainsi que 2 plus jeunes. Le mois dernier ils ont vécu un beau week-end de retraite au Monastère de Chalais accompagnés de leurs animateurs et du Père Patrick Royet.

Nous sommes tous invités à venir les entourer et à les porter dans notre prière.


 

Jeudi 19 juin 2025 - Veillée Louange-Adoration-Réconciliation

La prochaine adoration-louange aura lieu le jeudi 19 juin, de 20h30 à 22h, en l’église de Saint-Ismier

 Nous prierons particulièrement pour les couples qui vont recevoir le sacrement du mariage cette année dans notre paroisse ou ailleurs.

Il y a aussi la possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation lors de cette veillée qui est prévue tous les 3èmes jeudis du mois

 Contact : Pierre-Xavier et Laurence YEME : 06 24 34 18 08

 

20/21/22 juin 2025 - Pèlerinage jubilaire à bicyclette

En ce temps de Jubilé, nous sommes invités comme pèlerin à nous mettre en marche… à pied ou à bicyclette... C’est pourquoi, pour les amateurs de « cyclistes à dénivelés », nous vous proposons : 

  • Vendredi 20 juin départ de St Ismier à 8h00, avec la bénédiction du Père Patrick. Direction ND de la Salette, 100 Kms , 2500m de dénivelé, 1ère étape. 
  • Samedi 21 juin direction ND du Laus : 2ème étape de 80 Kms. 
  • Dimanche 22 juin, journée au sanctuaire du Laus pour se reposer et profiter des lieux ainsi que des enseignements du jour. 

Comme dans toute bonne logistique, une voiture balai pourra porter vos affaires et relayer les cyclistes. Pour le retour, il faudra prévoir en fonction du nb d’inscrits une/des voitures. N’hésitez pas à en parler autour de vous. « Plus y a foule, plus ça roule ! »

Contact : Nicolas Maigne 06 73 38 96 60

https://www.diocese-grenoble-vienne.fr/index.php?nocache=1&alias=stmartinmanival_publications

 Programme des principales propositions 2024-2025  


Il est vénéré à Montbonnot depuis le XIème siècle en raison du passage de l’Isère jadis fréquentée par des bateliers pour desservir la vallée du Grésivaudan. Il est né vers 270 à Patare en Asie mineure, de parents chrétiens. Après avoir été ordonné prêtre, il devient évêque de Myre et prit immédiatement sa charge à coeur. Il participa au concile de Nicée en 325 où il combattit l’arianisme. Il lutta fermement contre l’idolâtrie et les hérésies. Il mort vers 350 et son tombeau devint rapidement un lieu de pèlerinage. Lorsque les turcs conquirent la ville de Myre, au XIe siècle, les reliques furent déplacées jusqu’à Bari (Italie), où elles sont encore aujourd’hui très vénérées. C’est à cette époque que son culte se répand en occident. De nombreux miracles lui sont attribués, d’où la célèbre histoire des trois enfants sauvés d’un boucher cruel (représentée par le vitrail au dessus de la porte de l’église de Montbonnot). Lors du déplacement de ses reliques à Bari, le miracle de la tempête apaisée lui vaut d’être aussi le patron des marins et des voyageurs. Il est fêté le 6 décembre particulièrement avec les enfants.

 Elle avait de la famille du côté de son père au Rachais à Meylan, côté Montbonnot. Elle est née à Grenoble en 1769 dans une famille de la haute bourgeoisie. 

Elle entre comme postulante, à 19 ans, au couvent des visitandines de Sainte-Marie d’en haut, malgré l’opposition de son père. Lorsque la révolution française éclate, le couvent est dispersé ; sainte Philippine se consacre alors à l'éducation des enfants et aux soins des plus pauvres, des prisonniers et des prêtres réfractaires. Après le concordat de 1801 elle rachète le couvent abandonné et après avoir rencontré Mère Marie-Sophie Barat en 1804, elle fait venir quelques soeurs de la nouvelle congrégation du Sacré-Coeur. 

A 49 ans, elle se porte volontaire pour partir en mission dans le Missouri puis en Louisiane où elle fonde plusieurs écoles et diffuse la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus. 

A 72 ans malgré son état de santé fragile, elle se rend auprès des Indiens, sur leur territoire au Kansas. Sainte Philippine a marqué les esprits des Indiens puisqu’ils la surnommaient “la femme qui prie toujours”. Elle mort le 18 novembre 1852, à l’âge de 83 ans, sa dépouille repose dans la chapelle de son sanctuaire à Saint-Charles. Elle est aussi vénérée à Grenoble dans la Collégiale Saint-André, l’église qu’elle fréquentait lorsqu’elle habitait dans la grande rue. C’est une belle figure chrétienne féminine à découvrir ou redécouvrir. 

 Il était vénéré dans la paroisse voisine Saint-Martin-de-Miséré (autour du prieuré) avant l’union de celle-ci avec Montbonnot en 1851. Il fait figure d’allégorie dans la foi chrétienne du bien victorieux du mal. Il serait né vers 275 à Mazaca (aujourd'hui Césarée en Turquie). À quinze ans, il devient officier de l’armée romaine à Nicomédie. Son habileté et sa sagesse firent sa renommée. En 303 l’empereur Dioclétien émit un édit donnant l’ordre de détruire les églises et de persécuter les chrétiens. Il remit alors son glaive en signe de démission. En passant par Lydda, il entend parler d’une bande de pillards perses qui terrorisait la région, dirigée par un certain Nahfr, dont le nom signifie “dragon”. Il tue le dragon d’un seul coup d’épée et capture le reste de la troupe. L’empereur Dioclétien lui ordonne alors d’offrir un sacrifice aux dieux païens. Il refuse et doit subir d’atroces tortures mais chaque fois il survit miraculeusement. Ces « résurrections » entraînent de nombreuses conversions. Il mort en 303, le 23 avril maintenant jour de sa fête. Il est inhumé à Lydda. Saint patron des cavaliers,

Carnet des familles 2025

De 2025 :

Baptèmes :    
Eglise de Bernin : Diégo GATTA, Romy GATTA, Albane HENQUELL
Eglise de Biviers :  Gaston GAUTHIER
Eglise de Montbonnot : 
Eglise de St-Ismier :  Valentin BERNHARD, Théo FIORESE, Auguste SILVESTRE et Clémence CHANAS, Louise DERRIEN, Charlotte DERRIEN, Emile AGEORGES,
Eglise de Saint-Nazaire :  Louise LEFEBVRE de LADONCHAMPS,

Mariages : 
Eglise de Bernin :
Eglise de Biviers : Raphaël CASSIN et Adélaïde BONNET,
Eglise de Montbonnot 
Eglise de Saint-Ismier :  Claire PEUPLE, Bernard CHABERT d'HIERES et Bérénice HENRY, 
Eglise de Saint-Nazaire :

Funérailles :  
Eglise de Bernin :  Madame Pierrette CHENEVAS-PAULE, Marie-Thérèse COMBE, Yvonne CHARRIER,Fernande ROZERON, Jacqueline JOURDAN, 
Eglise de Biviers : Martine BIBOUD,
Eglise de Montbonnot :  Anne DOLIGEZ, Irène BASSI, Maurice VAUDET, Catherina MINAZIO, Marie COLONNA, Colette GALPIN, Aimée ESRAGER, 
Eglise de Saint-Ismier :   Pierrette VIVIAN, Marie CROUZET, Patrick BONNETON,  Juliette ZAMBON, Jean-Pierre CHIMIAK, Patricia BOEX FONTVIEILLE, Danielle BETTOGLIA, Marie CHIMIAK, Denise RUELLE, Raymond WAZNER, 
Eglise de Saint-Nazaire :  Madeleine LAPORTE, Andrée THEO, Angèle QUAGLINO, 

Nous contacter

Maison paroissiale
Place de l’église - 38330 Saint-Ismier
Tél. : 04 76 52 26 16 (vous pouvez laisser un message téléphonique, nous vous rappellerons dans les plus brefs délais)
Mail : secretariat@stmartinmanival-paroisse38.fr

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